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Vous ne supportez aucun moyen de transport, vous êtes malade en voiture, en avion et en bateau ? Le mal des transports ou cinétose n’est pas grave mais peut être inconfortable et embarrassant.
Il s'agit d'un trouble qui affecte une personne lors d'un déplacement par voie aérienne, routière ou maritime. La cinétose est communément appelée mal des transports. Au début de la crise, le voyageur se sent mal à l'aise et il a souvent chaud. Le malade tombe dans un état nauséeux, il a des vertiges, souvent des maux de têteet transpire énormément.
Le malaise peut s'accompagner d'une augmentation de la sécrétion salivaire. Le malade se met alors à vomir généralement durant tout le trajet. La cinétose peut conduire dans certains cas à un état de fatigue. Dès le trajet terminé, le sujet retrouve généralement son état normal.
Le mal de transport est un trouble très courant chez les enfants âgés de 2 à 12 ans comme le souligne le site officiel de l'Assurance Maladie Ameli. Les adolescents concernés restent cependant rares. Les adultes, notamment les femmes durant la grossesse et les règles sont aussi fréquemment touchées par ce trouble.
Le mal des transports peut être limité grâce à quelques précautions. Avant le départ, la personne souffrant de cinétose doit manger de façon modérée. Il est conseillé d’opter pour des aliments solides. Le café, le tabac et l'alcool ne sont pas du tout conseillés pour un individu qui a le mal des transports.
Dans les transports en commun, l’individu choisira plutôt une place dans le sens de la marche et de préférence côté fenêtre ou hublot. Il profitera mieux du voyage en regardant loin.
En effet, ce problème est souvent dû à une perturbation des facultés visuelles. Tant que l'individu arrive à distinguer les paysages, le risque de crise est limité. Une fois assis, le sujet a intérêt à se tenir bien droit et éviter de faire des gestes brusques. Le patient ne doit pas effectuer une activité susceptible de solliciter ses facultés visuelles.
Si toutes ces précautions ne suffisent pas pour éviter les vomissements, le malade peut prendre un antihistaminique de type Nausicalm, trente à soixante minutes avant le début du voyage.
D'autres prises peuvent s'avérer nécessaires durant le trajet. Le malade doit respecter un intervalle de temps de six heures entre chaque dose. Par ailleurs, les produits homéopathiques sont également efficaces pour lutter contre la cinétose comme Cocculine.
Si vous devez voyager et que vous êtes sujet au mal des transports, demandez conseils auprès de notre pharmacien.
Sources : sante.lefigaro.fr ; vulgaris-medical.com